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Infos détaillées

Black and light
1974 – France
8′ – N&B – Sonore – 16 mm
RéalisationPierre Rovère
Yaa Bôé
1975 – France
8′ – Couleur – Silencieux – 16 mm
RéalisationDominique Avron
Couleurs délicieuses sur fond bleu
1976 – France
10′ – Couleur – Silencieux – 16 mm
RéalisationChristian Lebrat
R
1976 – France
3′ – N&B – Silencieux – 16 mm
RéalisationYann Beauvais
À l’exotique
1976 – France
4’30 – Couleur – Silencieux – 16 mm
RéalisationClaude Postel
Fête de femmes à l’Université de Vincennes
1977 – France
3′ – Couleur – Silencieux
RéalisationBarbara Glowczewska
C’est fou !
1977 – France
10’40 – Couleur – Sonore – 16 mm
RéalisationUnglee
59 heures rue de la Santé
1977 – France
3′ – Couleur – Silencieux – 16 mm
RéalisationEdouard Beux
La Petite fille
1978 – France
9′ – Couleur – Sonore
RéalisationPascal Auger
Sécan ciel (version courte)
1979 – France
4′ – Couleur – Silencieux – 16 mm
RéalisationJean-Michel Bouhours
D’art moderne
1977 – France
9’50 – Couleur – Sonore – 16 mm
RéalisationDominique Willoughby
D 160 bis : Mr Roger
1989 – France
6′ – Couleur – Silencieux – 16 mm
RéalisationAlain Raoust
Projection Cinéclub18/03/2020 à 12h45

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Avant-garde des années 70

Claudine Eizykman était cinéaste, comme l’aura montré la rétrospective intégrale de ses films du mois de novembre. Elle enseignait également le cinéma à l’Université de Vincennes, puis à Saint-Denis, dans le premier département d’études cinématographiques de l’université française qu’elle a contribué à fonder. Son enseignement reposait à la fois sur l’esthétique et l’histoire du cinéma expérimental et sur sa pratique. De cet aller-retour essentiel et productif entre la théorie et la pratique, naissait l’approche singulière de l’enseignement du cinéma à Paris 8, et simultanément, un creuset clairement identifié et localisé de la pratique expérimentale en France.

Ainsi, dans son sillage et celui de Guy Fihman, toute une génération d’étudiants, avide d’un cinéma nouveau et indépendant, attentive aux constituantes fondamentales de la machine cinématographique, devenait cinéaste. Elle allait finir par constituer, après celle des années vingt, et après l’érosion des occurrences cinématographiques lettristes et situationnistes, ce qu’on a fini par appeler la deuxième avant-garde cinématographique française, celle des années soixante-dix.

Impliquée dans une défense militante de cet autre cinéma, elle allait également participer, toujours sous la direction de Claudine Eizykman et de Guy Fihman, à la création d’une coopérative, à l’image de celle initiée par Jonas Mekas aux États-Unis, et d’une revue, polychrome : Melba.

Grégoire Quenault
Fête de femmes à l'Université de Vincennes, Barbara Glowczewska, 1977
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